Historique du Collège


L’Etablissement a été créé par M. MARAIS en 1956, en tant que Cours Complémentaire de garçons, faisant suite à l’Ecole Primaire Paroissiale de garçons, sise au 26 rue Michelet, et accueillant progressivement les élèves de la sixième à la troisième. Cette transformation entraîne une succession de constructions et le rachat d’un bâtiment à la ville de SEGRE.

En 1979 : Fusion avec le premier Cycle de BOURG – CHEVREAU STE ANNE, afin de constituer un Collège MIXTE, créant ainsi un Etablissement de 562 élèves.

Si l’unité pédagogique était créée, il n’en était pas de même pour les locaux :

– Les 6° et 5°, ainsi que les locaux administratifs demeuraient au 26 rue Michelet.

– Les 4° et 3° étaient accueillis à l’institution BOURG – CHEVREAU STE ANNE.

1987 – 1994 : Le Temps de Construire. Le projet, mûri depuis des années par les responsables du Collège, de regrouper un jour sur un même site tous les élèves, a été mené à terme en sept années.

En 1987 : Réalisation d’une première tranche de travaux, Chemin de Renier, sur un terrain  de 3 hectares – constituée de locaux scolaires accueillant les élèves de 4° et 3°, et des locaux du Service de Restauration destinés à l’ensemble des élèves du Collège. Cette construction libère ainsi les classes nécessaires au développement du lycée BOURG – CHEVREAU STE ANNE.

En 1989 : Salle de SPORTS

* 3 Février 1990 – Destruction totale de la salle de sports par la tempête.

* Novembre 1990 –             Reconstruction terminée et mise à la disposition effective des utilisateurs. Réalisation progressive des annexes.

1993/1994 : Réalisation de la seconde tranche de travaux, chemin de Renier, permettant  le regroupement définitif du Collège sur un seul site.

Sept années ont donc été nécessaires. Grâce à la volonté de l’OGEC, des Parents, des Enseignants, du Personnel, à l’appui et au concours des Responsables Diocésains et au soutien des Collectivités Locale et Départementale, le Projet a trouvé sa concrétisation dans un bâtiment fonctionnel, spacieux, entouré d’espaces verts et, nous l’espérons, agréable pour les jeunes et  les adultes. Même les anciens murs de la rue Michelet sont « tombés » pour laisser la place à des habitations.